En étudiant la politisation progressive de l'Europe, dominée par le clivage traditionnel "gauche-droite", cet ouvrage réfute l'idée d'une démocratie européenne "impolitique" qui serait responsable du déficit démocratique que traduit la forte abstention constatée aux dernières élections européennes de 2009. Depuis 1950, socialistes et démocrates-chrétiens sont au cœur du processus de politisation de l'Europe. S'appuyant sur une démarche comparative, voici une étude des deux familles politiques les plus importantes à l'échelle communautaire.